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Французский язык

Артикул: иняз38-2-1

Автор решения: admin

Вариант 1 Руководствуясь правилами чтения букв c и g в положении перед буквами a, o, u, e, i, y и ç…

Вариант 1

  1. Руководствуясь правилами чтения букв c и g в положении перед буквами aoueiy и ç перед  aou разместите приведенные ниже слова по графам таблицы в соответствии со стоящими в графах фонетическими знаками:

c [s]

c[k]

ç [s]

g [g]

g [z]

 

Régime, français, capacité, gouvernement, centrale, façonner, courage, ingénieur, égalité, regulier, cyclone, gymnaste, reçu, principal, vecu.

  1. Составьте к следующим предложениям следующие виды вопросов:
  1. Общий вопрос с оборотом est-ce que
  2. Общий вопрос  с инверсией
  3. Частный вопрос с вопросительным словом
  1. Paris est le centre culturel de la France. 2. A Paris il y a beaucoup de monuments anciens. 3. Nous irons voir la Tour Eiffel.
  1. Раскройте скобки и в зависимости от смысла поставьте глаголы в présentpassé composé  или future simple в соответствующем лице и числе. Предложения переведите:
  1. Faubourgs et les banlieues de Paris (former) bientôt une seule ville immense. 2. La semaine dernière il (arriver) à Paris. 3. Paris (avoir) une grande et glorieuse histoir.
  1. a). В правой колонке замените точки соответствующими прилагательными в женском роде:

Образец: un centre culturel – une vie culturelle

  1. Un passé glorieux – une tradition ...
  2. Un rôle principal – une idée ...
  3. Un ouvrier français – une ouvrière ...
  4. Un village ancien – une ville ...

      b). Слова левой колонки поставьте во множественном числе:

  • : un journal intéressant – des journaux intéressants.
  1. Переведите следующие предложения. Обратите внимание на многозначность предлогов  à, deen:
  1. La Seine divise Paris en deux parties. 2. Beaucoup de monuments historiques se trouvent en France. 3. êtes-vous de Paris? 4. Nous parlons de Paris. 5. Nous sommes venus à Paris. 6. Nous irons à l`excursion.

VI.  Замените точки наречием или местоимением eny. Переведите предложения на русский язык:

  1. Avez-vous des livres français? Oui, j` ... ai. 2. Vous intéressez- vous au sport? Oui, je m` ... intéresse. 3. Revenez- vous de l`institute? Oui, nous ... revenons. 4. Quand reviendrez- vous de votre voyage? Nous ... reviendrons dans cinq jours.

VII.Письменно переведите следующий текст, выписывая незнакомые слова:

L'élevage bovin ne fait plus recette en France.

De plus en plus de jeunes se détournent des filières animales. Les agriculteurs installés préfèrent eux cultiver leurs prairies plutôt que d'élever des vaches.

Les filières animales font de moins en moins d'émules. Si le pays détient le premier cheptel bovin d'Europe avec 21 millions de têtes dont 8 millions de vaches, la tendance est à la baisse. En l'espace d'un an, le nombre d'élevages bovins a ainsi reculé de près de 6%, passant de 246.000 en 2009 à 232.000 en 2010.

Pour des raisons de revenus et de moindre pénibilité, les agriculteurs déjà installés préfèrent s'orienter vers d'autres productions. «Il est plus facile de retourner une prairie pour faire une culture de blé ou de colza que d'élever des bêtes sur la même surface, explique Jean-Pierre Fleury, secrétaire général de la Fédération nationale bovine. C'est plus rentable et cela demande moins de travail».

En effet, le revenu moyen d'un éleveur est trois fois moins élevé que celui d'un céréalier. D'après les dernières statistiques du ministère de l'Agriculture, le premier gagne 14.700 euros par an quand le deuxième perçoit plus de 47.000 euros. Ceux qui veulent s'installer comme éleveurs réfléchissent donc à deux fois avant de le faire.

«Ce sont de gros investissements en capital, 1500 euros pour une vache en moyenne, plus le coût des bâtiments et les contraintes du travail qui ne sont pas à la hauteur des sommes mises en jeu», explique Marie-Thérèse Bonneau, agricultrice en Vendée.

De nouveaux marchés.  À la tête d'un troupeau de 100 bovins, Marie-Thérèse Bonneau comprend pourquoi le métier ne fait plus recette. «On gagne de l'argent que lorsque l'on part à la retraite, en attendant il faut joindre les deux bouts et dégager de la trésorerie pour payer les factures», précise-t-elle. Le métier d'éleveur suscite donc moins de vocations chez les jeunes. «Les animaux, c'est trop contraignant, je me dirige vers la forêt», explique Jonathan, étudiant à AgroTechParis.

Les filières animales dans leur ensemble pâtissent d'autres handicaps: l'industrie de la première transformation peine à rénover ses installations, le nombre d'abattoirs est trop important. En outre, cette industrie ne sait pas répondre à la demande du marché. «Les abatteurs français ne sont pas capables de satisfaire le cahier des charges des acheteurs, explique Pascal Cousté, conseiller en élevage à travers toute la France. Notamment en ce qui concerne le taux de gras des viandes et les normes sanitaires».

Dans le cas du porc français par exemple, cela se traduit par un surcoût dans le process industriel de 5%. Résultat: la grande distribution, mais aussi les industriels de la transformation, vont s'approvisionner hors de France, où la concurrence est en mesure d'offrir des prix inférieurs.

Toutefois, l'essor de la consommation mondiale, de l'ordre de 15% par an, offre un débouché aux éleveurs. L'augmentation du niveau de vie dans les pays émergents comme la Chine et le Brésil compense la baisse de la consommation de viande rouge constatée dans les pays développés. «De nouveaux marchés s'ouvrent à nous, dans l'arc méditerranéen du Maghreb, en Turquie et aussi en Russie», indique Pierre Chevalier, président de la Fédération nationale bovine. Dans la filière bovine, la part de la production française destinée à l'export, aujourd'hui supérieure à 5%, s'inscrit ainsi à la hausse ces dernières années.

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